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Holi la fête des couleurs

HOLI, la fête des couleurs



La fête de la Holi (होली (holī)) également appelée "fête des couleurs", "Phalgunotsava", "Holika" ou Holikotsava" est une fête hindoue de l'équinoxe de printemps, dédiée à Krishna, la huitième réincarnation de Vishnu, dans le nord de l'Inde et à Kâma, divinité de l'amour et du désir, dans le sud. Elle est fêtée dans toute l'Inde durant deux jours au cours de la pleine lune du mois de Phalguna Purmina, l'équinoxe vernal qui a lieu en février ou en mars selon le calendrier hindou. Cette fête, placée sous le signe du jeu et de la gaieté, est très populaire en Inde et rassemble les gens de toutes les confessions et de toutes castes. Elle a désormais conquis le monde pour son côté festif mais sans tenir compte des préceptes de la fête initiale et des astres.




LES ORIGINES ET LES LÉGENDES

On retrouve la trace de Holi - souvent très détaillée - dans de très anciens ouvrages religieux tels que le "Pūrva Mīmāṃsā Sūtra" du Sage Jaimini (textes importants de l'école de philosophie indienne āstika ou hindoue connue sous le nom de Mīmāṃsā qui reconnaît les autorités des Vedas) ou dans et le Kathaka Grhya Sutro (Laugakshi Griyasutra) . La fête de Holi existe depuis des temps très anciens et le sens de la fête a évolué au fil du temps.

Auparavant, Holi était un rite spécial, effectué par les femmes mariées pour le bonheur et le bien-être de leur famille où la pleine lune (Raka) était adorée. Dans certaines parties de l'Inde, notamment dans l’État du Bengale et de l'Orissa, Holi est aussi célébré comme l'anniversaire de Shri Chaitanya (1486-1533).


HOLI, sa définition, sa légende

"Holi" se traduit dans le sens littéral au mot "brûler". Il existe diverses légendes pour expliquer le sens de ce mot. La légende principale à Holi est celle associée au roi-démon Hiranyakashyap. Hiranyakashipu était le roi des démons et Vishnu avait tué son frère car il terrorisait les dieux et les déesses. Du coup, Hiranyakashipu avait de la haine contre Vishnu et voulait s'en débarrasser tout en maintenant les autres Dieux sous sa coupe. Il ordonna à ses soldats d'écraser quiconque qui adorerait Vishnu, mais Vishnu protégeait ses dévots. Hiranyakashipu se fit alors ascèse pour régner sur les trois Mondes. L'occasion pour les dieux de mettre à sac sa cité et de détruire son palais. Son épouse, qui attendait un enfant, fut capturée et envoyée à l'ermitage du Sage Narada, un disciple de Vishnu. Elle suivit un enseignement où la reine apprit de Narada que le Seigneur Vishnu était l'âme de toutes les choses créées et qu'il était présent partout. Prahlada, son enfant, eut le même enseignement que sa mère et voua un culte à Vishnu. Après cette période d'ascèse qu'il fit pour impressionner Bhraham, Hiranyakashipu ramena alors son épouse et son fils Prahlada dans sa cité. Mais Hiranyakashipu n'avait pas changé, bien au contraire, il était plus arrogant et plus égoïste qu'avant. Pensant qu'il était devenu un Dieu, il demanda à tout le monde de lui vouer un culte. Mais le fils du roi lui-même, Prahlada, était en désaccord avec son père, préférant croire en Vishnu. Hors de lui, Hiranyakashipu infligea à son fils les pires châtiments, aidé de Holika. Cette dernière essaya de piéger son neveu en lui demandant de s'asseoir à côté d'elle, dans les flammes dont elle était protégée grâce à son châle. Lorsque le feu fut allumé, Prahlada pria Vishnu et ce dernier fit en sorte qu'une rafale de vent souffle sur le châle de Holika pour protéger Prahlada.

Privée de ses pouvoirs, Holika brûla vive alors que Prahlada survécu. Hiranyakashipu entra dans une colère noire au point que le dieu Vishnu fut obligé d'intervenir, prenant l'apparence de Narasimha, son avatar mi-homme, mi-lion.  En effet, Hiranyakashipu avait reçu un pouvoir de Brahma lorsqu'il avait été ascèse et pour le vaincre, il ne fallait être ni un homme, ni un animal, ni être à l'intérieur, ni être à l'extérieur, ni être au crépuscule. Narasimba mi-homme, mi-lion, tua Hiranyakashipu sur le seuil du palais. Vishnu connaissait les failles du pouvoir de Hiranyakashipu et réussi ainsi à le tuer. Et, c'est ainsi, que Holi célèbre la victoire du bien sur le mal.



Holi est fêtée dans toute l'Inde mais avec une ferveur particulière dans les villes de Mathura, Vrindavan, Barsana et Nandgaon, les régions associés à Krishna et Radha. Pourquoi ?

Quand Krishna était jeune, il avait un complexe celui d'avoir la peau bleutée alors que sa chère Radha avait un teint parfait. Un jour, il se plaignit à sa mère qui lui suggéra de trouver de la poudre de couleur et d'en mettre sur le visage de Radha. Radha aimait ce jeu et ce jeu plaisait également aux gopis, les vachères avec qui Krishna aimait s'amuser. La coutume de la fête de Holi naquit ainsi. Dans les villes de Mathura, Vrindavan, Barsana et Nandgaon, lors de la fête de Holi, des statues de Krishna et Radha sont mises dans un palanquin décoré qui est transporté à travers les rues principales des villes où les dévots chantent le nom de Krishna, les hymnes de dévotion, ... D'autres légendes


Shiva et Parvati Holi est aussi une fête à l'amour en référence à Shiva et Sita (qui deviendra par la suite Parvati) et en référence à une flèche que reçu Shiva alors qu'il était en pleine méditation de Kamedeva (dieu de l'amour et du désir). Kamedeva connu dans cette légende sous Madana était venu de la part des dieux pour que Shiva sortent de sa tristesse (car le père de Sita Daksha était contre le mariage de sa fille avec Shiva) et de sa méditation. Kamedeva Madana fut réduit en cendres par le troisième œil de Shiva qu'il avait ouvert par colère. La mission était réussie mais Madana n'était plus de ce monde. Sita demanda à Shiva de faire ressusciter Madana, car il était venu de la part des Dieux et non pour faire du mal. Shiva accepta mais Madana devra vivre de façon désincarné qui lui donna le nom de "Ananga" (homme sans corps). L'esprit de l'amour incarné par Kamadeva est maintenant diffusée à travers le cosmos : elle affectera Shiva dont son union avec Sita sera consommée. La légende de Dhundi Une ogresse appelée Dhundi vivait dans le royaume de Prithu (ou Raghu) qui aimait dévorer les enfants innocents. Elle avait effectué sévères pénitences et a remporté plusieurs faveurs des divinités qui la rendaient presque invincible. Cependant, en raison d'une malédiction de Shiva, elle n'était pas à l'abri des farces et des jeux de jeunes garçons qui lui lancèrent des flèches. Un jour, les garçons courageux du village ont décidé de se débarrasser d'elle pour toujours en la chassant. Ils se sont enivrés de bhang (boisson à base de chanvre) et ont ensuite suivi Dhundi aux limites du village, tambour battant, faisant grand bruit, en criant des obscénités et des injures contre elle jusqu'à ce qu'elle quitte le village pour de bon.  C'est la raison pour laquelle, aujourd'hui encore, les jeunes garçons sont autorisés lors de la fête de Holi, à utiliser des mots grossiers à Holi et à d'autres à consommer du bhang. La légende de Pootana Une autre légende raconte que Kansa l'oncle de Krishna voulut tuer Krishna en demandant à Putana de le nourrir de lait toxique. Pootana était une matrika, mais parfois on raconte qu'elle était une démone ou même une ogresse. Putana se déguisa en très belle femme, trompa la mère adoptive de Krishna et là laissa allaiter le bébé Krishna. Putana avait barbouillé sa poitrine avec un mandana, une substance hallucinogène afin de tuer Krishna. Cependant, Krishna pressa ses seins et suça sa vie (prana ou force de vie) ainsi que son lait. Dans la douleur, Putana cria, plaidant pour sa libération, mais en vain. Elle sortit de la ville avec Krishna encore s'accrocher à elle et finalement elle tomba morte. Elle a pris alors sa véritable forme démoniaque. C'est le poison qui donna le teint bleuté à Krishna.



Dans la nuit avant Holi, il existe une pratique de brûler une effigie de Putana, la tradition est symbolique de la victoire de la divinité sur les forces démoniaques. Il montre également la fin de l'hiver et de l'obscurité.

"Holi" symbolise la victoire du bien contre le mal. La fête de Holi, c'est donc brûler la vanité, l'égoïsme, l'avidité, la luxure, la haine et toutes les autres tendances négatives ainsi que les mauvaises actions. C'est la victoire des forces du bien sur les forces démoniaques.

LA FÊTE DE HOLI

Il n'y a pratiquement aucune coutume religieuse spécifique, pas de jeûne ni de culte spécial le jour de Holi. En général, le jour de Vasantapanchami (Magha Sukla Panchami), presque quarante jours avant la fête de Holi, on place une bûche en bois dans un endroit public important. Sur la bûche, on place aussi une image de Holika tenant le petit Prahlada sur ses genoux. On utilise des matériaux combustibles pour la représentation de Holika et des matériaux non combustibles pour la représentation de Prahlad. Les gens lancent des brindilles et d'autres matériaux combustibles dans les flammes. On allume la bûche dans la nuit de Phalguna Purnima au cours d'une cérémonie toute simple pendant laquelle on récite parfois les mantras Raksoghna du Rigvéda pour éloigner les mauvais esprits. On lance aussi des noix de coco et des pièces dans ce feu de joie. Le lendemain matin, on ramasse les cendres du feu de joie comme prasad (objet consacré) et on s'en enduit les membres du corps. S'il y a des noix de coco, on les ramasse pour les manger. Dans certaines maisons, on place l'image de Kamadeva (le dieu du désir) dans la cour et on lui fait une offrande simple. On partage le prasad, un mélange de fleurs de manguier et de pâte de santal. Le jour le plus important est celui Dhuleti  Phalgun Krishna pratipada. Il est de coutume de faire la fête, les gens se lancent du gulal, de l'eau colorée ou de la poudre de couleur parfumée. Les gens habillés de blanc prennent plaisir extrême en pulvérisant de l'eau de couleur sur l'autre avec pichkaris ou verser des seaux et des seaux de celui-ci. Les couleurs des pigments ont une signification bien précise : rouge pour la joie et l'amour, bleu pour la vitalité, vert pour l'harmonie, orange pour l'optimisme. On y chante des chansons sur le thème de Holi venant de Bollywood et danse sur le rythme de dholak. Au milieu de toute cette activité les gens savourent gujiya, mathri, malpua et autres spécialités.










Lors de Holi, on consomme du bhang, une boisson à base de chanvre, qui contribuerait à renforcer l'esprit. Mais prise en excès, ce qui peut être souvent le cas, c'est l'inverse qui se produit.



Autres manifestations populaires associées à Holi Au début, c'était les femmes mariées qui étaient chargées de célébrer Holi pour le bonheur et le bien-être de leurs familles. Elles adoraient la déité de la pleine lune (Raka). Il y a deux façons de calculer les mois lunaires : purnimanta et amanta. Dans le premier système, le premier jour suit la pleine lune tandis que dans le second, le premier jour suit la nouvelle lune. De nos jours, c'est le deuxième mode de calcul qui est le plus courant, mais autrefois, c'était le premier qui était très en vogue. Selon le système purnimanta, Phalguna Purnima tombait le dernier jour de l'année et la nouvelle année annonçait le Vasanta-rtu (le printemps commençait le lendemain). C'est donc ainsi que la fête de Holi est peu à peu devenue une occasion de se réjouir qui annonçait l'avènement de la saison du printemps. C'est ce qui peut expliquer les autres noms qu'on donne à cette fête : Vasanta-Mahotsava et Kama-Mahotsava. Si l'on en croit les histoires des Puranas ainsi que diverses légendes locales, ce jour est important à trois titres. C'est ce jour là qui vit l'ouverture du troisième oeil du Seigneur Shiva, c'est également ce jour là que le Seigneur Shiva réduisit Kamadeva en cendres et que des garçons espiègles se débarrassèrent – à grand renfort de cris et de farces – d'une ogresse nommée Dhundhi qui les harcelait. Elle s'était pourtant dotée de plusieurs pouvoirs qui la rendaient pratiquement invincible, mais le bruit, les cris, les insultes et les farces des garçons ouvrirent une brèche dans son armure à cause d'une malédiction de Shiva. C'est depuis, que ce jour s'appelle « Adaba » ou encore « Holika ». Holi au Bengale Au Bengale, la population appelle cette fête Dolupurnima ou bien Dolayatra (fête de la balançoire) ; elle est célébrée avec un calme plein de dignité. On dit que c'est le roi Indradyumna qui a instauré cette fête à Vrindavana qui dure de 3 à 5 jours, et démarre au Sukla Chaturdasi de Phalguna. Les principaux temps forts de cette fête sont la célébration en l'honneur de Agni et l'adoration de Govinda (Krishna), on place un portrait de Krishna sur une balançoire. Il faut pousser cette balançoire 21 fois à la fin de la fête. Et le feu qui est allumé le premier jour doit brûler jusqu'au dernier jour. Holi dans le Sud de l'Inde Dans le sud de l'Inde, cependant, les gens suivent la tradition du culte Kaamadeva, le dieu de l'amour de la mythologie indienne. Les gens ont confiance dans la légende qui parle sur le grand sacrifice de Kaamadeva quand il a tiré sa flèche d'amour sur Shiva de rompre sa méditation et évoquer son intérêt pour les affaires du monde. Après la grande fête de la journée, les gens deviennent un peu plus calme dans la soirée afin de saluer amis et parents en leur rendant visite et en échangeant des sucreries. Holi est également une occasion pour l'organisation d'événéments culturels pour favoriser l'harmonie et la fraternité dans la société.



Holi Holi HAI ... Venez et les rues résonnera avec les chants de Holi hai ... Couleurs remplira l'atmosphère que les gens jettent abeer et gulal dans l'air montrant une grande joie et de gaieté dans l'arrivée de cette Fête du Printemps. Holi marque la fin de la morosité de l'hiver et se réjouit de fêter le printemps. Quelques jours avant Holi, les marchés sont inondés avec les couleurs de tous les tons. Cela définit bien l'état d'esprit des gens jusqu'à ce que le jour même de Holi. C'est un tel spectacle coloré et joyeux pour regarder d'énormes tas de rouge, magenta, rose, vert et bleu partout dans les rues. Acheter ces couleurs semble que vous apportez joies et couleur à votre maison et dans votre vie. Les enfants prennent un plaisir particulier à la fête et essayent à avoir le plus de couleurs possibles. Ils essayent de planifier dans leurs esprits afin qu'ils puissent être les premiers à mettre dans le visage de leur famille les couleurs acquises et auprès de leurs amis.  Et, ce n'est pas seulement les enfants, mais les jeunes et les moins jeunes qui prennent plaisir à cette fête joyeuse de couleurs. Leur enthousiasme est parfois plus grande que celle de leurs enfants, ils oublient les barreaux de l'âge et de suivre leur cœur. Pour les jeunes, Holi donne une chance d'explorer les hauteurs de leur enthousiasme comme ils grimpent les pyramides humaines pour briser le pot de babeurre et d'exprimer leur amour pour leur bien-aimé en lui appliquant une couleur choisie. Pour fabriquer des couleurs naturelles


Pour le jaune : mélangez de la farine de pois chiches ou du talc avec du curcuma. Vous pouvez aussi faire sécher des fleurs jaunes, des oeillets d'inde ou des chrysanthèmes jaunes puis les écraser en poudre fine. Mélangez ensuite avec la farine.

Le rouge : poudre de santal rouge, bonne pour la peau. Vous pouvez aussi faire sécher des fleurs d'hibiscus rouges pour en faire une pâte. Ou les laisser tremper une nuit pour obtenir de l'eau colorée.

L'orange : le safran, ça sent bon ! On raconte que le dieu Krishna jouait Holi avec ses vachères avec des fleurs jaunes connues sous le nom de "flamme de la foret" qui sont comme des grappes de glycine jaune. Vous pouvez les faire bouillir ou les faire tremper une nuit pour obtenir une belle et odorante couleur orangée. Vous pouvez aussi les faire sécher et les mixer avec de la poudre de santal pour obtenir une pâte douce et odorante.

Pour le vert, utilisez de la poudre de henné mélangée avec de la farine jusqu'à obtenir une belle couleur verte. Seules les feuilles du henné trempées donnent de la couleur et le henné sec s'enlève facilement par brossage. Ceux qui aiment mettre de la couleur dans les cheveux le feront avec de la pâte de henné et économiseront à leurs amis une séance de coloration chez le coiffeur !

Pour faire de l'eau rose, couper quelques betteraves rouge en tranches et faites les tremper une nuit ou faites les bouillir quelques minutes. Pour le noir, faites bouillir des mûres ou des fruits d'amla (fruits indiens bourrés de vitamine C) dans une casserole en fer pendant quelques minutes. Les dissoudre dans l'eau et utiliser. Source préparation couleurs : http://epanews.fr/profiles/blogs/pour-un-holi-coligique La signification des couleurs  Amour toujours, le rouge couleur des mariages indiens Au quotidien : si en Inde vous croisez une jeune femme vêtue d’un sari vermeil, souhaitez-lui tout le bonheur nécessaire, elle s’en va probablement embrasser l’amour éternel. En effet, le rouge est la couleur la plus utilisée pour les mariages car Lakshmi, déesse de la fortune, de la prospérité et de la beauté, est représentée avec un sari traditionnel couleur vermeil. Interprétation : couleur de l’amour certes, mais aussi de la vitalité et du courage. Le rouge, symbole de la Shakti qui représente l'énergie, est une couleur positive qui éloignerait du mal.

Le jaune, sel de la vie Interprétation : Vishnu, le dieu de la stabilité de l'univers est représenté avec des vêtements jaunes. À travers cette couleur, il faut donc y voir un symbole d’esprit, de sagesse, de bonheur et de paix, une façon de célébrer le caractère sacré de la vie.

Allégresse et festivité : vive le vert Le saviez-vous ? Cette couleur est dans de nombreuses cultures associée aux grands espaces verdoyants et à leurs végétations, saviez-vous qu’en Inde on la perçoit également comme la couleur des récoltes abondantes ? Ainsi, l'associe-t-on volontiers à des périodes de festivité ou encore à des souvenirs heureux.

Blanc comme un linceul Au quotidien : lorsqu’en Inde une femme arbore des vêtements immaculés de blanc, il y a fort à parier qu’elle porte le deuil de son époux, et brandisse ainsi au vu et au su de tous son renoncement aux distractions de la vie. Interprétation : couleur funeste, pas seulement. Le blanc, qui résulte de la convergence de toutes les couleurs primaires, porte en lui de nombreux symboles. Il peut représenter la pureté, la connaissance, la paix.

Faisons la paix avec le bleu Interprétation : le bleu couleur de la création par excellence fait référence au ciel et aux océans. De nombreux dieux hindous sont représentés avec la peau indigo, à l'instar de Krishna qui lutte contre le mal. Le bleu peut donc se lire comme une allégorie de la paix, du courage et de la virilité. Source signification des couleurs http://www.laoujetemmenerai.com/article/une-ola-pour-holi-la-fete-des-couleurs-indiennes_a1677/1




Les dates de Holi

  • In 2014, Holi is on March 17.

  • In 2015, Holi is on March 6.

  • In 2016, Holi is on March 23.

  • In 2017, Holi is on March 13, with Holika Dahan on March 12.

  • In 2018, Holi is on March 2, with Holika Dahan on March 1.

  • In 2019, Holi is on March 21, with Holika Dahan on March 20.


  • In 2020, Holi: 10th March 2020 - Holika Dahan: 09th March 2020

  • In 2021, Holi: 29th March 2021 - Holika Dahan: 28th March 2021


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